Je viens de découvrir ton fil.
Ton parcours difficile avec le baclofène m'interpelle.
Je suis depuis peu avec le traitement.
Mais au risque de jouer les troubles fêtes, je me lance quand même!
Je lis beaucoup les expériences de chacun et je ne porte aucun jugement quand à la façon dont chacun perçoit son propre traitement.
Je retiens quand même que l'efficacité du baclofène en tout cas l'importance moindre des ES est meilleure sans consommation d'alcool (des dires même d'Olivier Ameisen).
Facile pourront me répondre beaucoup d'entre vous, mais c'est un fait reconnu.
Au même titre que les cures de sevrage n'ont jamais apporté de résultats sur le long terme, elles ont l'intérêt d'un arrêt de consommation d'alccol (et il a en fait pas mal aussi Olivier et tjrs d'après lui cala avait le mérite d'un coupure nette avec l'enfer du quotidien) ... peut-être une situation à envisager avec le traitement au baclofène pour savoir si vraiment une personne est incompatible à la guérison souhaitée.
J'ai vu que tu as commencé le "baclo" en novembre 2010, et tjrs de grosses alcoolisation et tjrs pas de résultats probants.
L'idée d'une déconnexion totale de ton environnement ne pourrait-elle pas être envisagée?
Te laisser "dorloter" 4 semaines et vivre avec le baclo pour mieux le supporter avec peut-être à la clé des résultats enfin positifs sur tes envies de consommation.
C'est juste un message dans une bouteille à la mer!
Le trouvera-t-on échoué sur une plage de Belgique, je n'en sais rien, mais j'avais envie de l'envoyer.
Pour bien d'autres raisons, j'envisage pour la première fois de partir en cure rhumastismale ... justement pour me faire "dorloter", retrouver le fameux "lâcher prise" qui m' a abandonné et continuer clopin-clopant mon aventure baclofène ... une fois!
