Bonjour,
De retour 10 ans après mon inscription, j’ai oublié de venir parler de ma guérison impressionnante en moins de deux ans. Ensuite trois ans apres un grave accident m’a immobilisé en chirurgie puis au lit pendant trois mois, les anti douleurs et autres medicaments m’ont fait interrompre la dose d’entretien.
J’ai ensuite eut des consommation une ou deux fois dans l’année (jours de l’an, aniv d.une copine) de six verres sans conséquences. Puis l’année suivante se sont ajouté quelques fois un ou deux verres de vins pendant un bon repas, toujours sans consequences. Au fil du temps je suis resté sur cette consommation une fois par mois un ou deux verres et deux fois dans l’année six sept verre max sur une fete avec bon repas et pas de plongé dans un etat avançé car consommation étalé sur 4/5 heures.
J’étais devenu « normal »
J’ai même surmonté en 2017 et 2018 de lourds soucis professionnel avec un risque financiers colossal sans recours à l’alcool.
Le confinement et ma relation avec ma compagne on ravivé ma faiblesse vis à vis de l’alcool, mon rgard vers les rayon alcool s’est rallumé quand je passas à l’hyper, mon envie de boire s’est réactivée devant les scènes de films et séries prenantes où un acteur consommait. Et je me suis laissé aller, j’ai vidé pendant ces nuits de télé et series en ligne les bouteilles qui etaient chez moi suis sorti spécialement m’approvisionner. J’étais retombé.
Un clients m’a proposé de reprendre le boulot, j’ai sauté sur l’occasion..
J’ai rapidement demandé à mon médecin traitant une prescription de baclofène, je suis re passé sur le site pour regarder les répartition de dosage.
Depuis mai je tourne avec une presction à 80 mg jours j’ai reparti sur mon nouveau craving qui se situe vers 22h en théorie 20 mg 16h 18h 20 22h mais des oublis et une fatigue importante et des oublis donc à peine une moyenne â 50mg ma reprise de consommation en nette baisse.
6 mois après je suis sur une phase descendante avec cette reprise de la pandémie, devant un verre d’alcool
et là où je ne voulais revenir que pour dire la réussite du traitement et rendre l’espoir qui m’avais été donné
ce que je n’avais jamais fait avec une certaine culpabilité
J’y ai pris tant d’énergie pour m’en sortir que j’en ai honte
J’espère que le second traitement sera aussi efficace que le premier.
La sortiede l’alcoolisme, celle de 2011 est dure et le maintien en est altérée par les souvenirs dégradants des comportements qu’on a eu sous l’influence de l’alcool. J’avais passé ce cap et me pensais à l’abri, surtout après mes soucis de 2017/2018.
Et non!!! J’ai replongé,
Mais mon repère, je l’ai appris sur lce site, avec mon regard sur les bouteilles et la conso à l’écran, c’est ce qui m’a alerté pour la reprise de bacloféne.
15 ans de thérapie puis deux ans de bacloféne et je me suis crue redevenu normal, si je m’en sors à nouveau je conserverais la dose d’entretien.
Bonsoir